Mes convictions politiques

Remettre l’humain au centre des décisions me semble être primordial. Les politiques qui sont menées depuis de nombreuses années sont loin des attentes des citoyens, que ce soit en matière d’enseignement, d’emploi, de santé et de justice.

On nous dit que le chômage baisse, que l’offre d’emploi a augmenté de manière constante, pour ma part j’ai dû constater tout le contraire, c’est la précarité qui est en croissance exponentielle !

Les droits des femmes qui avaient été acquis durant de nombreuses décennies s’étiolent de manière insidieuse depuis plusieurs années, le harcèlement des jeunes et moins jeunes est en recrudescence, le sous-investissement en matière de justice donne une impression d’impunité de la part des harceleurs, des agresseurs, des fraudeurs.

Le droit à l’accès au logement, au travail, à une formation de qualité pour les jeunes et les moins jeunes, aux soins de santé, à une pension juste doivent être les objectifs principaux de nos responsables politiques.

La transparence, le pragmatisme, le réalisme, le désintéressement, la vision à moyen et long terme doivent être les leads motifs de ceux qui nous gouvernent.

Je m’engage à faire entendre votre voix au sein des parlements, d’être à votre écoute et de relayer au mieux votre parole auprès du monde politique.

Remettons la politique au service du citoyen !!!

En ce qui concerne le nombre de mandats je ne considère pas qu'il doit y avoir de nombre maximum, par contre le montant des rémunérations, tous mandats confondus, ne peut dépasser la rémunération d'un député fédéral.  6000€ mensuel me semble une rémunération plus que confortable !

La mobilité est un enjeu primordial pour Bruxelles mais ne se cantonne pas à la région Bruxelloise, cette problématique doit être gérée dans sa globalité avec les deux autres régions.

Les difficultés rencontrées à Bruxelles sont loin d'être identiques à celles que l'on retrouve en zone rurale. Les zones rurale sont peu ou pas desservies par le réseau des Tec. Les parkings autour des gares sont payants, la ponctualité et la qualité des services de la SNCB laissent à désirer, tous ces facteurs n'incitent pas le navetteur à laisser sa voiture dans son garage.

Je pense qu'une analyse globale du problème permettrait sans doute d'amener des propositions cohérentes qui pousseraient un plus grand nombre d'usagers à délaisser leurs voitures.

Pour cela il faudrait proposer des services de transports en communs plus performants, sécurisés, à prix réduits, avec des tickets de transports qui ne feraient pas de distinction en fonction du type de réseaux utilisés.

Il faut redynamiser, revaloriser les transports en communs, ramener du civisme et du respect entre les usagers.

Il faut également permettre aux usagers d'utiliser positivement le temps passé dans les transports en communs et donc un certain confort s'impose pour atteindre cet objectif.

 

Le nombre de législatures que l'on peut prester ne devrait pas dépasser 2, ce qui équivaut à 10 ans, l'investissement en politique nécessite énormément d'énergie et de sacrifices et je considère qu'après dix ans, l'enthousisame s’est estompé. Cela évite les travers dûs aux habitudes, le copinage. Cela stimulera au contraire la créativité et le changement.

En ce qui concerne les pensions j'avoue ne pas être convaincue de ce qui est sur la table, travailler jusqu'à 67 ans sous prétexte que l'on vit actuellement jusqu'à 81 ans en moyenne, cela signifie donc que l'on ne peut profiter que 14 ans du bonheur de ne pas être stressé dans les embouteillages matin et soir pour aller travailler, de ne pas supporter la pression exercée au travail, de ne pas devoir se lever à l'aube vu les difficulté à se déplacer avec les transports en commun, de ne plus devoir exercer une profession qui nécessite des efforts physiques, à des cadences qui ne sont pas supportable tout au long d'une carrière.

 

Nos décideurs sont-ils conscients de la pénibilité d'un grand nombre de professions, que ce soit dû aux conditions dans lesquels elles sont exercées, à la lourdeur de celle-ci, etc... Et NON à 60 ans il n'est plus possible de courir toute la journée sur des échelles, de porter des parpaings, de courir derrière des voleurs qui ont 30 ans de moins, de faire des nuits en milieu hospitalier, de faire les 3 huit lorsque l'on travaille en pause.  

 

Soyons logique pensez-vous réellement qu'un patron qui ne pense qu'à la rentabilité et au rendement va engager un jeune de plus de 50 ans, vous me direz que oui si l'expérience est la qualité première recherchée,  ce n'est malheureusement pas souvent le cas.

 

Est-il pensable de garder son emplois jusqu'à 67 ans, j'avoue ne pas en être convaincu que reculer l’âge de la pension soit bénéfique pour le citoyen, 

 

Mettre une limite dans la durée de perception des allocations de chômage, le législateur devra faire une proposition d'emplois ou de formation en vue d'une réinsertion dans le milieu de l'emploi(s). Le travail est source d'intégration sociale,