Mes convictions politiques

Mes Valeurs, mes idées …

Indépendante depuis 25 ans, J’ai du comme bien d’autres traverser de nombreuses embuches, les différentes crises, 2008, covid, guerre en Ukraine, … toutes ces situations me permettent de bien appréhender les difficultés liées à l’entreprenariat et la valeur du travail !

Certes il faut proposer une protection sociale tel que le chômage aux travailleurs, mais celle-ci doit être limitée dans le temps et ne doit pas s’apparenté à un emploi. Une formation de qualité dans un métier en pénurie doit être proposé aux demandeurs d’emploi après maximum deux ans de chômage afin qu’ils puissent immédiatement retrouver un emploi après.  Il faut bien entendu tenir compte de la carrière et de la pénibilité du travail précédemment effectué par la personne en recherche d’emploi.

A titre indicatif, je cotise depuis 25 ans et en cas de faillite je n’aurais même pas droit à une indemnité de chômage, encore un non-sens du système. Certes un certain nombre d’améliorations ont eu lieu pour soutenir les indépendants, telle la diminution à 15 jours d’incapacité de travail de ceux-ci pour bénéficier d’un revenu de compensation, néanmoins dans les faits celui-ci est bien souvent trop faible pour pallier aux charges récurrentes que nous avons mensuellement, de plus l’obtention de celles-ci sont souvent de courte durée.

A la fatigue engendrée par le travail, il s’ajoute les lourdeurs administratives et la pression psychologique permanente, être indépendant est un combat permanent.

Travailler c’est être solidaire envers nos ainés et leur garantir une pension descente.

Le travail quel qu’il soit doit être revalorisé, moins taxé afin qu’il permette aux travailleurs de vivre décemment et que le chômage ne soit plus une alternative à celui-ci !

 

Pourquoi à mon sens la voiture électrique n’est pas l’avenir

  • Le prix : on nous annonce qu’ils vont diminuer et être plus abordables, que cela commencera aux alentours de 25000€ pour un petit modèle, même à ce prix là bon nombre de personnes ne seront pas en mesure de s’en payer une aux vues de la conjoncture actuelle

 

  • Le marché de l’occasion sera inexistant vu la durée de vie limitée des batteries et le prix exorbitant pour le remplacement de celles-ci

 

  • On nous fait miroiter que ces véhicules sont moins polluants, lors de leur usage peut-être mais ce n’est pas le cas à la fabrication ni au moment du recyclage des batteries

 

  •  La recharge de ces véhicules sera également un problème, on nous annonce l’installation de bornes de recharges mais si tout le parc automobile est électrifié il ne sera pas possible d’en installer suffisamment, sans compter avec la faiblesse du réseau de distribution qui n’est pas en mesure d’assumer les pics de consommation qui seront de plus en plus régulier vu la volonté imbécile du monde politique de vouloir tout électrifier !

 

  • Ajouté à cela le prix de l’électricité qui risque d’augmenter fortement, vu la probabilité de pénurie de production et les coûts pharaoniques prévu pour améliorer le transport de celle-ci

Pourquoi ne pas avoir plus axé la voiture vers l’hybride, qui me semble être un bon compromis en proposant des voitures avec une autonomie électrique correct, des véhicules plus petits, moins lourds donc moins énergivore nécessitants par conséquent moins de batterie.

L’utilisation de l’électrique ce ferait dans les centres urbains à forte densité de population et le diesel pour les plus longs trajets.

Changer notre manière de nous déplacer sera une nécessité, elle devra devenir multimodale, pour cela il faudra une offre de transports publics qui soit suffisante, ponctuelle, de qualité et que le coût soit attractif. Ce n’est qu’à ce moment là qu’il sera possible de convaincre les automobilistes de n’utiliser leur voiture que lorsqu’il n’y a pas d’autre alternative. Aujourd’hui on est bien loin de ça !!!

 

Non à l’écologie punitive,

Consommer différemment est une nécessité, néanmoins le faire à travers un système de taxation à tout va n’est pour moi pas la solution, les plus nanti pourront continuer à surconsommer à leur guise et à côté de cela les plus fragilisé le seront encore davantage !

Un peu de pragmatisme et de cohérence en politique ne ferait pas de mal, le dossier nucléaire en est un des exemples des plus flagrant, sortie pour 2025 votée en 2003 pour un méga rétropédalage en 2023 et un contribuable que payera la facture de l’immobilisme du monde politique. Il ne me semblait pourtant pas si difficile de faire le calcul entre la production des centrales nucléaires et celle du renouvelable et de ce rendre compte que cela ne fonctionnerait pas !

Plus proche de nous l’arnaque du photovoltaïque, le monde politique a poussé le citoyen à en installer un maximum, sous le prétexte de la sauvegarde de la planète et des économies importantes qu’il pourrait faire sur sa facture d’électricité, résultat final, un réseau inadapté qui décroche tout le temps et en remerciement suprême une taxe prossumeur supérieur à l’économie engendrée par la production de ces panneaux photovoltaïques.

Ajouté à cela les tarifs de l’électricité qui vont augmenter en fonction du moment où vous la consommerez. Le législateur ne tient bien entendu pas compte du fait que bon nombre de personne n’ont pas les moyens de se payer de l’électroménager connecté, de la domotique ou tout simplement ne sont pas en mesure de pouvoir utiliser cette technologie.

On vous propose des primes à l’isolation ridicules qui sont censées vous convaincre d’améliorer le coefficient énergétique de votre bâtiment et vous permettre de faire des économies à très très long terme,  cadeau de l’état, votre précompte immobilier augmente et le peu qui vous aura été donné vous sera repris au centuple !!! 

Si l’on veut convaincre le citoyen d’investir dans l’isolation de son bâti cela devra passer par une diminution du précompte immobilier en fonction des travaux réalisés.

Récompenser plutôt que punir sera l’avenir si l’on veut convaincre le citoyen de s’intéresser réellement à l’écologie

Remettre l’humain au centre des décisions me semble être primordial. Les politiques qui sont menées depuis de nombreuses années sont loin des attentes des citoyens, que ce soit en matière d’enseignement, d’emploi, de santé et de justice.

On nous dit que le chômage baisse, que l’offre d’emploi a augmenté de manière constante, pour ma part j’ai dû constater tout le contraire, c’est la précarité qui est en croissance exponentielle !

Les droits des femmes qui avaient été acquis durant de nombreuses décennies s’étiolent de manière insidieuse depuis plusieurs années, le harcèlement des jeunes et moins jeunes est en recrudescence, le sous-investissement en matière de justice donne une impression d’impunité de la part des harceleurs, des agresseurs, des fraudeurs.

Le droit à l’accès au logement, au travail, à une formation de qualité pour les jeunes et les moins jeunes, aux soins de santé, à une pension juste doivent être les objectifs principaux de nos responsables politiques.

La transparence, le pragmatisme, le réalisme, le désintéressement, la vision à moyen et long terme doivent être les leads motifs de ceux qui nous gouvernent.

Je m’engage à faire entendre votre voix au sein des parlements, d’être à votre écoute et de relayer au mieux votre parole auprès du monde politique.

Remettons la politique au service du citoyen !!!

En ce qui concerne le nombre de mandats je ne considère pas qu'il doit y avoir de nombre maximum, par contre le montant des rémunérations, tous mandats confondus, ne peut dépasser la rémunération d'un député fédéral.  6000€ mensuel me semble une rémunération plus que confortable !

La mobilité est un enjeu primordial pour Bruxelles mais ne se cantonne pas à la région Bruxelloise, cette problématique doit être gérée dans sa globalité avec les deux autres régions.

Les difficultés rencontrées à Bruxelles sont loin d'être identiques à celles que l'on retrouve en zone rurale. Les zones rurale sont peu ou pas desservies par le réseau des Tec. Les parkings autour des gares sont payants, la ponctualité et la qualité des services de la SNCB laissent à désirer, tous ces facteurs n'incitent pas le navetteur à laisser sa voiture dans son garage.

Je pense qu'une analyse globale du problème permettrait sans doute d'amener des propositions cohérentes qui pousseraient un plus grand nombre d'usagers à délaisser leurs voitures.

Pour cela il faudrait proposer des services de transports en communs plus performants, sécurisés, à prix réduits, avec des tickets de transports qui ne feraient pas de distinction en fonction du type de réseaux utilisés.

Il faut redynamiser, revaloriser les transports en communs, ramener du civisme et du respect entre les usagers.

Il faut également permettre aux usagers d'utiliser positivement le temps passé dans les transports en communs et donc un certain confort s'impose pour atteindre cet objectif.

 

Le nombre de législatures que l'on peut prester ne devrait pas dépasser 2, ce qui équivaut à 10 ans, l'investissement en politique nécessite énormément d'énergie et de sacrifices et je considère qu'après dix ans, l'enthousisame s’est estompé. Cela évite les travers dûs aux habitudes, le copinage. Cela stimulera au contraire la créativité et le changement.

En ce qui concerne les pensions j'avoue ne pas être convaincue de ce qui est sur la table, travailler jusqu'à 67 ans sous prétexte que l'on vit actuellement jusqu'à 81 ans en moyenne, cela signifie donc que l'on ne peut profiter que 14 ans du bonheur de ne pas être stressé dans les embouteillages matin et soir pour aller travailler, de ne pas supporter la pression exercée au travail, de ne pas devoir se lever à l'aube vu les difficulté à se déplacer avec les transports en commun, de ne plus devoir exercer une profession qui nécessite des efforts physiques, à des cadences qui ne sont pas supportable tout au long d'une carrière.

 

Nos décideurs sont-ils conscients de la pénibilité d'un grand nombre de professions, que ce soit dû aux conditions dans lesquels elles sont exercées, à la lourdeur de celle-ci, etc... Et NON à 60 ans il n'est plus possible de courir toute la journée sur des échelles, de porter des parpaings, de courir derrière des voleurs qui ont 30 ans de moins, de faire des nuits en milieu hospitalier, de faire les 3 huit lorsque l'on travaille en pause.  

 

Soyons logique pensez-vous réellement qu'un patron qui ne pense qu'à la rentabilité et au rendement va engager un jeune de plus de 50 ans, vous me direz que oui si l'expérience est la qualité première recherchée,  ce n'est malheureusement pas souvent le cas.

 

Est-il pensable de garder son emplois jusqu'à 67 ans, j'avoue ne pas en être convaincu que reculer l’âge de la pension soit bénéfique pour le citoyen, 

 

Mettre une limite dans la durée de perception des allocations de chômage, le législateur devra faire une proposition d'emplois ou de formation en vue d'une réinsertion dans le milieu de l'emploi(s). Le travail est source d'intégration sociale,